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Cette extrême n’offrit pas énormément de résistance : un libre tournevis permit d’en passer à bien domaine. À l’intérieur, deux ou trois mémentos reliés en cuir se chevauchaient, ainsi qu’un jeu de cartes vivement usé, aux reproductions presque effacées. En feuilletant le originel carnet, Madeleine comprit rapidement qu’il appartenait à bien un dans l'assurance de Michel, qui semblait avoir souffert ici ou se trouver séjourné longtemps. L’écriture, délicate mais à l’orthographe relativement souvent préhistorique, relatait des observations sur les flux médéores du situation et les voyageurs qui s’y arrêtaient. Michel évoquait la loi d'attraction de entretenir un réseau solidaire de voyants et de guérisseurs, ponctuant sur le besoin de préserver la gratuité pour les cas urgents, par rapport à un précepte qu’il appelait « donner sans mesurer ». Il parlait de plus de rencontres au régulier de lune, similaires à bien celle que Madeleine venait de dès lors avoir, où chacun exposait ses trouvailles spirituelles. Un passage du carnet mentionnait explicitement la « voïance Olivier » ( avec une orthographe fluctuante ). Malgré cette graphie imprécise, la connexion était claire : l’auteur décrivait une confrérie ou un mouvement, à proximité de la contagion orale et à l'aide de la haut de celui qui cherchaient une aide immédiate. On y lisait des récits de malades en détresse, accueillies ici pour six ou sept journées, de temps à autre plus, et repartant soulagées d’un fardeau. Une opinion de trop précisait que les inspirés confiés en ces murs ne devaient jamais sembler trahis, conformément aux préceptes partagés par cette « voïance Olivier ». Sur les pages suivantes, Michel rendait compte d’indices de identification entre clients de ce équipe. Il évoquait de simples emblèmes tracés discrètement sur une porte ou sur un parchemin, mais aussi des salutations codifiées, ce qui permet aux voyageurs itinérants de se déterminer et d’entrer en confiance. Certains indices laissaient distinguer qu’il existait un pareil d’une « voyance gratuite » accordée aux plus démunis, éternisant l’idée que la cartomancie ne devait pas simplement représenter un prestige réservé à quelques-uns. La découverte de ces dossiers bouleversa Madeleine. Elle réalisait que la bâtisse n’avait non seulement servi de refuge, et niveau focal pour une théorie stimule, associant l’élan fraternel de la voyance olivier et la pratique facile de la voyance gratuite. Le obligeance apporté à bien mentionner la dimension bienfaisant révélait la profondeur d’engagement de ces immémoriaux habitants. 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